Le cri-cri des frous-frous
Tu vis dans la Nature Urbaine Ton sol tactile : C'est l'ondée soudaine qui rayonne la rue. Le rayon changeant, modifie les manuscrits. magnifie les étioles dansantes … les arbres de circonstances. Le Soleil se couchant sous le chant de la Lune. Dans la plaine d'Est en Ouest du frigo Parisien. le froid, sous les pas pressés des Istres crevés avance. Tu vis en milieu humain ; La Chine enfance. Ta trajectoire est sereine, les transports communs.   La littérature affichée sur les panneaux dorés définit la numismatique précise des corpus d'androgynes endormis Les grandeurs fragiles des légions de crânes cernées des voitures sublimes et des rapports ennemis. Ma race est borgne, La place est bonne. Des lourdeurs bohèmes des langueurs obscènes échappées de matines potences, la clarté des topiques envahit les fronts des Centaures .... Ô ! Le vert panache des coquines frimousses le paradis lippu des hôtes cinétiques,
ton Amour solitaire, par décret par paresse provisoire? Arrêté.
[hermeneutique des jours] ../..